恐高症1977
地区:意大利
  类型:古装
  时间:2025-03-29 14:49:04
剧情简介

卡拉(芭芭拉·赫希 Barbara Hershey 饰)的丈夫在一场意外中不幸去世,恐高卡拉不得不独自抚养他们的两个孩子,恐高日子过得十分辛苦。某天夜里,卡拉遇见了科学无法解释的怪事,她被一股强大而又神秘的力量强暴了。由于事态过于诡异,卡拉将此归结于自己在做梦,但这股力量并没有就此消失,而是一而再再而三的骚扰着卡拉。恐惧之中,卡拉向心理医生库利(Jacqueline Brookes 饰)求助,但库利认为这只是卡拉压力太大而产生的幻觉。科学无法帮助卡拉,于是卡拉转而找到了一名玄学家,玄学家在卡拉的卧室里放置了特殊的摄影器材,并且最终拍摄下了惊悚恐怖的一幕。证据证明了卡拉并没有疯,但这也意味着,他们必须要和那个邪恶的力量正面对抗。

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明星主演
江若琳
李菲菲
尹子维
最新评论(525+)

洪京民

发表于4分钟前

回复 :从马来西亚移居新加坡的阿玲在一间高中担任中文老师。她的家庭生活让她倍感沮丧:公公因为瘫痪无法说话,丈夫对她也日趋冷淡。夫妻二人多年来一直尝试怀孕,但情况一直没有得到好转,丈夫的不闻不问更让她感到孤独。伟伦是阿玲的一位学生,他通过中文课对老师产生了某种不可名状的情愫,两人的关系随着阿玲给伟伦的课外辅导产生了变化……


唐妮布莱斯顿

发表于2分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


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发表于9分钟前

回复 :重演塔特山区营救队二战时的一次行动,获威尼斯金狮奖提名


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