本尼是一个娇弱的女孩,欧美有着不受约束的精力。她是个“系统破坏者”。这个术语用来描述那些违反每一条规则的儿童;那些拒绝接受任何形式的结构的儿童,欧美以及那些逐渐从德国儿童和福利服务的裂缝中跌落的儿童。不管这个9岁的孩子被带到哪里,她都会在短时间内再次被解雇。这正是她所追求的,因为她所想要的就是能够再次和她母亲生活在一起,一个完全无法应付女儿不可估量的行为的女人。
本尼是一个娇弱的女孩,欧美有着不受约束的精力。她是个“系统破坏者”。这个术语用来描述那些违反每一条规则的儿童;那些拒绝接受任何形式的结构的儿童,欧美以及那些逐渐从德国儿童和福利服务的裂缝中跌落的儿童。不管这个9岁的孩子被带到哪里,她都会在短时间内再次被解雇。这正是她所追求的,因为她所想要的就是能够再次和她母亲生活在一起,一个完全无法应付女儿不可估量的行为的女人。
回复 :高级警官康Sir遭人杀害,临死前他销毁了所有卧底的资料,以保护这些游走在生死线上的兄弟。在此之后,警方开始着手恢复数据,与卧底们重新取得联系。女卧底阿钉(佘诗曼 饰)某天收到一条康Sir发明的密码,在刑警男友阿Q(吴镇宇 饰)的指挥下,她尝试与这名神秘卧底进行接触。另一方面,某披着合法公司外皮的黑道组织重要成员阿蓝(张家辉 饰)和邵志朗(古天乐 饰)联手袭击了竞争对手。这二人情同手足,在公司少壮派中风头正劲,如日中天。然而警方对他们行动的预判令阿蓝开始怀疑公司有内鬼存在。经过几番试探,阿钉终于与神秘卧底接头,可是莫大的危险也向她奔涌袭来……
回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000
回复 :该剧根据大门刚明的同名小说改编,由搭档饰演因父亲去世而离散的兄弟两。一个是充满热血的刑警哥哥川上佑介,一个是冷静沉着的精英检察官弟弟唐泽真佐人。两人一边互相碰撞一边逼近某个疑难案件的真相的故事。